édition d'art
L’agence rentingART œuvre également dans l’édition de livres d’art avec sa maison d’édition rentingart publishing. Depuis 2007, sept monographies ont vu le jour sur les créations d’artistes contemporains comme Georges Rousse, Milthon, Charlelie Couture, Sunset ou Nathalie Rothkoff. L’édition d’art regroupe aussi une série de techniques permettant de produire différents supports, comme la série de sculptures « planosfeare » de Sunset produite en 2020.
Milthon, Monumentale, 2007
79 pages
Edition de 3000 exemplaires
Imprimerie Escourbiac, Graulhet
Mécène de l’ouvrage : AOS Studley
Textes : Gilles Betthaeuser, Jean Yves Mesguich, Marine Ghioni, Milthon, Florent Maubert, Nicolas Lavarenne
« L’univers des œuvres de Milthon, parce qu’exécuté d’abord en argile puis tiré en bronze ou en résine crée un espace mettant en évidence les différences entre notre condition humaine et le monde où évoluent les êtres de Milthon. Le métier est très classique dans le traitement du modelé par petites touches ou parfois lissé, dans l’approche des formes, dans l’expressivité des attitudes, dans l’utilisation de la fonte de bronzes et des patines. »
Georges Rousse, Made in the USA, 2008
88 pages
Edition de 3000 exemplaires
Imprimerie Escourbiac, Graulhet
Textes : Laurent Boudier, Sena Agbayissah, Eric Lévy
« Le projet est né d’une rencontre avec l’un des plus grands photographes de notre époque. Un artiste qui au fil de ces trente dernières années a sur faire converger l’ensemble des techniques de l’art contemporain pour réécrire et faire vivre l’espace. Décrire son œuvre est une mission délicate. Sa technique maîtrisée alliant peinture, architecture, design, sculpture, installation éphémère, se cristallise dans la photographie. »
CharlElie Couture, Follow the line, 2010
106 pages
Editions Verlhac
Edition de 3000 exemplaires
Mécène : Form’a
Textes : Philippe Cyroulnik, Philippe David, Eric Lévy
Imprimerie Escourbiac, Graulhet
« Dans le territoire de la ville, la photo a fait irruption. La caméra est le stylo et la pellicule, le carnet. CharlElie découpe dans l’espace urbain les lignes d’horizon et les lignes de fuite de ses déambulations poétiques. Les buildings et autres gratte-ciels sont les poteaux indicateurs de ses rêveries urbaines. Il révèle cette peau que sont ses murs et ses sols. Il se fait arracheur de signes. »
Sunset, Calligrammes urbains, 2015
117 pages
Edition de 2000 exemplaires
Imprimerie printer portuguesa
Textes : Gaya Goldcymer, Jérôme Catz, Eric Levy
« Je me demande ce qui se passe, quand l’artiste urbain passe de l’espace extérieur à celui, plus confiné, de la galerie, de l’appartement ou de l’entreprise…c’est une question de plus en plus récurrente et SUN 7 ne l’évite pas en gardant le rapport, incontournable, avec la liberté des grands espaces, celles des murs de la ville… Face au travail de SUN7, c’est bien une traversée rythmée, dont il s’agit. Et d’une écriture scandée par l’intensité d’une danse dans laquelle le corps de l’artistes et le corps du regardeur sont inscrits : intensément ! »
série de sculptures « planosfeare », SUN7, acier thermolaqué, 2020
« Planosfeare » est une série d’édition de sculptures signées et numérotées à la main par l’artiste en dessous du socle. 4 formats ont été développé : 40 x 40 x 1 cm, 50 x 50 x 1 cm, 70 x 70 x 1 cm, 100 x 100 x 1 cm.
Nathalie Rothkoff, Rencontre/s, 2021
105 pages
Edition de 1000 exemplaires
Imprimerie Escourbiac, France
Textes : Gaya Goldcymer, Eric Lévy
« De plus loin que je me souvienne, j’ai toujours vu Nathalie Rothkoff travailler sans relâche, creuser, penser, imaginer pour, toujours encore, retrouver le motif de l’identité : la sienne propre mais également celle de la peinture. Je l’ai toujours vue en double avancée, jouer et se jouer de la verticale et de l’horizontale qui permettent la trame : la grille, mythe moderniste, si chère à Robert Ryman, Paul Klee, Mondrian, Ad Reinhardt ou Agnes Martin. »
Jérôme Borel, Ornement, 2021
133 pages
Imprimerie France Quercy, Mercuès
Textes : Didier Semin
« Autodidacte en peinture, historien de formation, Jérôme Borel s’est choisi dans la modernité des maîtres dont il est aisé de repérer la trace dans son œuvre : Bacon n’est pas étranger au mur orangé de Cible 2 (2005-2006), ni à tel effrayant garçonnet représenté posant une arme à feu sur la table de dissection d’Enfant 2 (2010)… Il n’a pas besoin de dissimuler son héritage, parce qu’il sait que nous sommes tous héritiers, que les images sont affaire de mémoire, que l’opération non seulement de la peinture (et de la photographie, du cinéma) mais tout simplement du regard est toujours une greffe de souvenirs sur la réalité visible. »
georges rousse, made in Neuf-Deux, 2022
94 pages
Edition de 2000 exemplaires
Imprimerie Escourbiac, Graulhet
Textes : Gaya Goldcymer, Rémi Muzeau, Eric Lévy
« Il part à la recherche du site, du lieu, celui qui va permettre de jouer sur et avec les territoires urbains, celui qui lui permettra, sérieux comme le plaisir, de jouer avec les architectures et leur architectonique… Rousse dessine et peint les lieux qu’il va saisir par sa photo mais qui sont des installations éphémères , qu’il va ancrer, arrimer ces lieux et ces constructions dans une mémoire qui veut les oublier. »